Intégrer le BDSM dans ton couple ou une relation déjà existante

Je me rends compte que vous êtes nombreux.ses à choisir l’option du ou de la dom professionnel.le ou du/de la TDS un peu à contre-coeur, même quand vous n’avez pas le budget pour le faire confortablement, par peur de partager vos fantasmes avec votre ou vos partenaires, parce que vous avez déjà abordé le sujet dans votre relation de couple et que ça n’est “pas bien passé”, qu’iel n’a pas eu l’air interessé.e pour aller plus loin ou parce que, même sans vivre en couple, vous ne savez pas tellement comment amener la chose au milieu d’une sexualité vanille qui a l’air de bien convenir à tout le monde.

Il n’y a évidemment aucune honte à faire appel à un.e pro pour explorer ses fantasmes : cela permet d’avoir quelqu’un d’expérimenté et de renseigné en face, d’avoir accès à toute une panoplie de jouets et accessoires tellement coûteux que le commun des mortels n’envisagerais même pas d’en faire la collection et de lâcher prise peut être plus facilement, parce qu’il n’y a pas (ou pas autant) de pression à plaire, à performer, à être “assez” et que, au pire, si ça se passe mal, on ne se revoit pas.

Mais si, avant ça (ou en parallèle, qui sait ?), tu essayais d’aborder ce sujet qui te tiens tant à coeur avec ta.on ou tes partenaires ? Voici un petit coup de pouce pour intégrer en douceur le BDSM dans ton couple ou une relation déjà existante.

Etablir ou re-établir un climat de communication ouvert et serein

La première étape, c’est d’établir ou de reétablir un climat de communication ouvert et serein. Ça peut être plus difficile dans les relations déjà bien établies, car les conversations importantes concernant la sexualité sont souvent considérées comme déjà closes, mais il est temps de proposer de rouvrir des sujets enterrés depuis trop longtemps !

ça n’est même pas obligé de ne concerner que les thématiques sexuelles : il y a beaucoup de conversations importantes qu’on oublie d’avoir dans une relation après un certain temps et qui, si on les ramène sur la table, peuvent faire refleurir l’intimité et la complicité !

Commence tranquillement par proposer des rendez-vous : de vous trouver des moments rien qu’à vous pour discuter de comment vous vous sentez (individuellement et ensemble), ce que vous aimez dans votre relation, vos moments du quotidien préférés et ce que vous appréciez moins. L’idée est de s’écouter réellement et mutuellement.

Pour que ça se passe encore mieux et que la complicité soit au rendez-vous, je te recommande vivement de trouver ou créer des “espaces neutres”, qui vous permettent de sortir un peu des tracas du quotidien et de la routine et donc qui favorisent et mettent au centre de l’attention votre conversation.

Des sorties en extérieur peuvent être une idée : un rendez-vous dans un bar ou un restaurant, aller quelque part à vélo ou en voiture et profiter du paysage ou même marcher ensemble sans but particulier, juste pour flâner et donner à votre corps quelque chose à faire pendant que vous discutez tranquillement. Réaménager légèrement un endroit que vous connaissez déjà, chez toi et/ou chez vous peut aussi très bien fonctionner : créer un fort de couvertures, allumer des bougies, des lumières colorées ou tamisées, vous servir des boissons chaudes ou fraiches un peu spéciales et gourmandes, vous étaler librement au sol dans un tas d’oreillers…

Alors, évidemment, ce n’est pas magique. Si la communication est rompue depuis un moment, n’a jamais tellement existé ou si construire des moments de qualité et de l’espace à l’expression et l’écoute mutuelle n’est pas quelque chose d’habituel entre vous, ça ne déclenchera peut-être pas des conversations si profondes que ça dès les premières fois… et ce n’est pas grave ! L’idée n’est pas de faire ça une fois ou deux et d’abandonner, mais d’en faire une routine récurrente qui vous créé des moments où vous pouvez être ensemble, souffler et vous exprimer librement :)

Note qui peut aider : les conversations un peu plus vulnérables amenées par le fait de parler de sa relation ou de sa sexualité sont plus sujettes à déraper vers de la tension ou un comportement de fuite. Ce qui peut beaucoup aider, au-delà de créer régulièrement des moments et des espaces pour aborder ces sujets sur la durée et pas juste une fois tout d’un coup, c’est de donner à tes sens et à ton corps de quoi s’apaiser :

  • Bouger, marcher, juste te déplacer, danser, pouvoir changer de position régulièrement pour te mettre à l’aise, t’étirer, etc.

  • Lui donner du froid ou du chaud (sortir dehors, boire une boisson chaude ou froide, prendre un bain ou une douche, préparer une bouillotte, etc.)

  • Lui donner du réconfort en faisant des choses qui déclenchent la libération d’hormones liées à la détente, à l’apaisement ou à la cohésion sociale (faire / s’auto-faire des câlins ou des massages, s’envelopper dans un plaid pour faire une pression réconfortante sur soi, etc.)

ça vaut pour toi ET pour ta.on partenaire. Essaie de proposer un peu de tout ça tout au long de vos sessions d’échange pour créer une atmosphère apaisante.

Au cours de ces conversations, une fois un certain niveau de confiance mutuelle atteint, tu devrais pouvoir constater que les sujets concernant la sexualité et l’érotisme que vous partagez pointerons le bout de leur nez. Pour encourager ces conversations, les approfondir et ouvrir la conversation doucement sur le BDSM, voici quelques questions que tu peux poser :

  • Quel est ton rapport à la sexualité actuellement ? Est-ce qu’elle est liée à des hontes ? A des peurs ? A des frustrations ?

  • Est-ce que tu te sens assez excité.e quand on a des relations sexuelles ou est-ce que tu aimerais qu’on prenne plus le temps de laisser monter le désir ?

  • Qu’est-ce qui t’aiderais à te mettre dans un mood joueur et coquin, selon toi ? De quoi tu aurais besoin pour vraiment lâcher prise et profiter à fond ?

  • Est-ce que tu te souviens de choses qu’on a faites ensembles, qui t’ont beaucoup excité.e ? Tu saurais me dire pourquoi ?

  • Est-ce qu’il y a des choses que tu as peur d’essayer avec moi ou qui t’excitent très fort mais dont tu as un peu honte ?

Tu peux, bien évidemment, ajuster les questions ou trouver les tiennes selon tes points de curiosité ! Tu peux même encourager ta.on partenaire à écrire ses questions aussi pour que vous soyez deux à participer activement à cette conversation !

Garde à l’esprit que le but n’est pas de mettre la pression à ton ou ta partenaire ou de lae contraindre à avoir des conversations qu’iel ne souhaites pas ou n’est pas à l’aise d’avoir. La curiosité mutuelle, la complicité et la confiance doivent être au rendez-vous !

Lire ou écouter à deux pour laisser naître le sujet

Pour ouvrir des conversations, rien ne vaut le fait d’écouter ou de lire ensemble les mots d’une tierce personne (neutre) qui les évoque. Voici quelques ressources que tu peux lire et/ou écouter avec taon partenaire ou lui proposer de lire et/ou écouter chacun de votre côté, avant de prendre le temps d’en parler :

  • Jüne Plã, 2020, Jouissance Club, une cartographie du plaisir. éditions Marabout. Un livre iconique qui a aussi son compte Instagram et même un jeu de carte pour engager la conversation sur le plaisir sexuel (seul.e ou à plusieurs) et découvrir de nouvelles techniques !

  • Victoire Tuaillon, Le coeur sur la table, Binge Audio éditions. Un superbe podcast qui a aussi été édité en livre et qui discute et requestionne les relations, en particulier les relations homme/femme, comment elles fonctionnent, pourquoi et surtout : comment on pourrait faire autrement pour s’épanouir toujours plus, ensemble. Il est parfait pour requestionner les normes liées au genre dans la société, surtout dans les sphères affectives et sexuelles.

  • Catherine Angel, 2022, Demain le bon sexe. Les femmes, le désir et le consentement. éditions du Détour. Un superbe essai (traduit), qui évoque, de façon très complète, les problématiques complexes de désir, de consentement et de plaisir féminin. J’ai particulièrement apprécié que l’autrice explore ces sujets… sans chercher à apporter de réponse ou de solution : on fait un état des lieux, on propose des pistes et on conclue que “c’est compliqué et très personnel, finalement”.

  • Martin Py et Zoé Redondo, 2023, L’homme pénétré. Repenser notre intimité. éditions la boîte à bulles. Une BD très facile à lire qui évoque (on l’aura deviné) le tabou du plaisir anal chez les hommes cisgenres et hétérosexuels, mais aussi comment l’éducation nous forge, le consentement, le vaginisme, la pression à la performance et les relations. Il est très doux, très déculpabilisant et il prend extrêmement bien en compte le fait que la.e lecteur.ice peut se sentir gêné.e d’aborder ce sujet : je le recommande donc chaleureusement pour engager la conversation sur la pénétration anale, même quand on a du mal avec le sujet !

  • Océan, 2023, Dans la cage. Une autobiographie socio-pornographique. éditions Julliard. Un cheminement érotique propre à l’auteur, mais qui peut inspirer beaucoup de sessions d’introspection et qui, franchement, est très libérateur ! Il évoque notamment ce qu’on peut traverser dans notre vie sexuelle quand elle a connu des débuts violents et/ou abusifs et/ou traumatisants et comment on peut se réapproprier son corps et sa sexualité en y intégrant les évènements traumatiques, mais dans un cadre cette fois contrôlé, sécuritaire, sain et consenti. Il est donc super pour introduire l’idée du BDSM comme outil de réappropriation de son histoire et de sa sexualité.

  • Aude Mermillod, 2024, Eclore, éditions Casterman. Une superbe BD qui retrace le parcours érotique et sexuel de l’autrice et la ré appropriation de son corps, son désir et son plaisir après un viol. Elle aborde également le rapport compliqué des femmes au consentement, au plaisir et à la sexualité en générale, dans la société. Le sujet de base est dur, mais son expérience de ré appropriation est belle, positive et inspirante…

Ces ressources n’abordent pas toutes le sujet du BDSM et c’est normal ! Pour bien parler de BDSM, il faut d’abord créer un terrain qui puisse permettre d’aborder le sujet plus sereinement, donc ouvrir les thématiques de relations, de rôles genrés (l’homme qui domine/pénètre, la femme qui reste passive/est pénétrée, le mythe de la virilité, etc.) et de partage affectif et sexuel :)

Aborder les pratiques en douceur

Les pratiques BDSM font souvent peur au début, car elles ont une image mainstream très austère : du rouge, du noir, du cuir, du métal, des choses qui piquent ou qui frappent, du sérieux et une certaine solennité, de la douleur…

Voici quelques pratiques que tu peux proposer pour introduire en douceur un peu de sexe kinky sans pour autant coller à l’esthétique classique du BDSM :

  • Des bougies de massages aux jeux de cire, il n’y a qu’un pas !
    Achète une bougie de massage et propose un moment de détente à ta.on partenaire. Si iel est enthousiaste, vous pouvez jouer avec les sensations de la cire tiède, expérimenter ensemble ce moment de tension avant que les gouttes chaudes ne tombent, puis de détente, sous la sensation enveloppante de l’huile chaude (mais pas brûlante). Vous pouvez même jouet à un jeu : à tour de rôle, bandez-vous les yeux ou fermez les (selon ce qui est le plus confortable) et essayez de deviner où va tomber la goutte de cire. C’est un jeu complice : la douleur en est exempte et il est très propice à se poursuivre sur un massage… Tu pourras ensuite lancer la conversation sur ce que vous avez pensé de ces nouvelles sensations, ce que vous avez préféré (donner ou recevoir ? pourquoi ? etc.) et éventuellement, proposer d’essayer avec de vraies bougies BDSM (je recommande très fort ce set d’Akinkshop, sur Etsy, qui propose de très jolies couleurs et trois degrés de fonte différents pour explorer les sensations à son rythme, sans forcément aller vers du waxplay douloureux et de la cire brûlante) pour voir ce que ça donne et explorer d’autres sensations ensemble.

  • Le bondage n’a pas besoin de se faire avec des menottes ou du cuir froid. Et si tu essayais avec des accessoires colorés et/ou en satin (juste les chevilles ou les poignets, pour commencer, ou alors les yeux bandés…). Les menottes en soie de chez My Lubie sont parfaites pour du bondage coquin, doux, sensuel et coloré !

  • Même s’il y est souvent lié, le travail anal n’a pas nécessairement de rapport avec le BDSM ou des jeux de domination ! Aborde le sujet en partageant et/ou en lisant ensemble L’homme pénétré. Repenser notre intimité et/ou mon petit guide sur le travail anal la théorie du cul (disponible gratuitement sur mon blog) pour “dédramatiser” la chose. Puis, essayez d’expérimenter un peu ensemble, même si c’est juste un massage de l’anus et du périnée en externe, dans un premier temps !

  • Les jeux de sensations peuvent être un bon moyen de jouer sur les dynamiques de pouvoir en toute complicité : à tour de rôle, allongez-vous ou installez-vous dans les bras de l’autre pendant qu’iel joue avec différents accessoires : glaçons, plumes, main froide ou chaude, vibromasseur, bougie de massage, etc. Il est aussi possible de faire ce petit jeu les yeux fermés ou bandés et d’essayer de deviner ce qui est utilisé (pour amener encore plus l’attention sur les sensations physiques).
    Une autre variante des jeux de sensations, peut être de prendre une douche ou un bain ensemble : s’étaler de la pâte d’argile ou de la mousse dessus (selon l’effet recherché) ou de jouer avec l’un des kits de bain Shunga, qui transformera l’eau de votre bain en milliers de petites billes de gelée (pas de panique pour le nettoyage : un petit sachet de poudre qui les ramène à l’état liquide est toujours compris dans le paquet !).

  • Abordez la question de votre rapport à la violence physique, notamment à la fessée qui est souvent banalisée, même dans le sexe vanille ! Qu’est-ce que vous aimez et n’aimez pas là-dedans ? Quelles peurs est-ce que vous avez ou auriez à donner la fessée ou utiliser un paddle ou un martinet sur votre partenaire ? Vous pouvez même organiser une petite session de fessées réciproques pour jouer avec les sensations et réfléchir ensemble à comment vous le ressentez (moralement et physiquement) et comment vous préférez (ou n’aimez vraiment pas du tout) les recevoir.
    Les fessées ça claque toujours, mais plus ou moins fort et ça ne fait pas forcément mal ! Dans l’impact-play, on peut aimer la douleur, mais à différents degrés et on peut aussi être attiré principalement par la tension qui précède le coup qui tombe, le sursaut de la surprise à l’impact et/ou le fait de se sentir à la merci de l’autre. On peut donc ne pas aimer la douleur ou mal la supporter et adorer l’impact-play !

  • Utiliser des mots crus peut avoir un potentiel érotique très élevé et c’est aussi quelque chose de pas mal utilisé dans le sexe vanille ! Dire ce dont on a envie précisément, ce qu’on fait et ce qu’on aime faire/que l’autre nous fasse sans tabou est déjà un très bon début ! Poser les mots, les vrais mots, peut être compliqué, à cause des nombreux tabous qui entravent nos sexualités et de l’habitude que nous avons parfois à explorer celle-ci en silence, par peur d’être malaisant.e ou d’être jugé.e par saon partenaire. Ça peut être aussi simple que de commencer assis.es l’un.e en face ou contre de l’autre et se laisser aller à dire ce que vous aimez que l’autre vous fasse, parler de vos fantasmes, de ce que vous aimeriez lui faire ou qu'il vous fasse… laissez vous-aller petit à petit et le vocabulaire devrait s’enflammer de lui-même. Vous pourrez ensuite éventuellement aller plus loin en amenant la conversation aux insultes, par exemple, ou en vous posant des questions “Comment est-ce que tu aimerais que je t’appelle pendant l’amour ?”, “Est-ce qu’il y a des mots ou des registres qui t’excitent très fort ?”. Si ta ou ton partenaire est plus timide ou réticent.e à l’idée d’utiliser des mots crus ou des insultes, essaie de commencer par introduire des mots simples, des registres précis et moins vulgaires, avec lesquels iel pourra jouer et se familiariser progressivement, tout en étant à l’aise.

  • Je l’ai évoqué un peu plus haut, mais les accessoires BDSM sont souvent assez impressionnant voir effrayant, car souvent liés à quelque chose de très austère. C’est beaucoup de formes, de textures, de matières et d’usages à découvrir. Alors, le mieux reste de les introduire progressivement, accessoire par accessoire, sensations par sensation, matière par matière. Vous pouvez même les choisir ensemble pour trouver des esthétiques qui vous plaisent à tous.tes les deux et vous donne envie de les utiliser (tu trouveras quelques idées un peu plus bas).

Ce qui est important, c’est de prendre ton temps et laisser le sien à l’autre, de l’encourager et de lui faire un retour positif et sincère en direct, d’échanger les rôles de temps en temps, puis de proposer un petit débrief à la fin pour laisser l’espace à la communication.

Si tu as des envies de BDSM très poussées, ça peut te paraître un peu light, mais encore une fois, l’objectif n’est que d’offrir une porte d’entrée et/ou de créer de la curiosité chez ta ou ton partenaire, tout en lui laissant suffisamment d’espace pour poser ses limites, dire “ça je n’aime pas” ou “ça il va me falloir un peu plus de temps, ça m’impressionne un peu” ou encore “ça, ça me fait peur et/ou me mets mal à l’aise”.

Rappelle toi : chacun.e son rythme et chacun.e ses limites ! Peut-être que taon partenaire sera très curieux.se et enthousiaste, peut-être qu’iel aura besoin d’un peu plus de temps ou de réassurance avant de se détendre assez pour explorer… ou peut être que ce n’est et se sera jamais vraiment son truc ! Et c’est ok ! Je compte sur toi pour respecter ça, ne mettre aucune pression et ne pas forcer : le consentement ça ne vaut pas que pour la pénétration et céder n’est pas consentir ;)


Rendre accessible du jolis materiel de jeu…

J’ai déjà évoqué quelques références, mais comme du joli matériel, ça change vraiment tout… voici, rien que pour toi, un petit florilège composé spécialement par mes soins !

Et si ça ne marche pas ?

Malheureusement, malgré tous les efforts et la bonne volonté que tu pourras y mettre, il ce peut que ta.on partenaire ne souhaites pas (ou pas assez) explorer les pratiques BDSM qui te tiennent tant à coeur avec toi… et c’est OK !

Si ça ne marche vraiment pas, mais que tu veux quand même explorer tes fantasmes BDSM avec quelqu’un d’autre qui ne soit pas un.e pro (donc sans payer), alors il te reste quand même une solution : te rapprocher d’un réseau BDSM en ligne (via Fetlife, par exemple - le Facebook du BDSM) ou dans ta région (en te rendant à des soirées et à des munchs BDSM) pour rencontrer des amateur.ices enthousiastes à l’idée de trouver de nouvelle.aux partenaires de jeux.

Je te recommande tout de même d’être transparent.e quant à ton désir de trouver des partenaires de jeux BDSM, de prendre le temps d’en discuter avec ta.on partenaire, de lae rassurer, de discuter de règles et de tomber d’accord sur un cadre serein et consensuel avant de te tourner vers d’autres personnes. On est parfois surpris par la liberté que peuvent donner nos partenaires, quand on prends le temps de les inclure dans la conversation et de faire attention à leurs émotions ;)

Précédent
Précédent

L’envers du décor : Pourquoi les TDS ne sont pas “vénales”

Suivant
Suivant

Trouver et contacter un.e Dom/un.e TDS (en 5 étapes)